Le nationaliste Alexandre Gabriac fera bien de la prison ferme

Le nationaliste Alexandre Gabriac fera bien de la prison ferme

Quatre ans après les faits qui lui étaient reprochés, et plus d’un an après sa peine prononcée en première instance, Alexandre Gabriac a été fixé sur son sort.

La cour d’appel de Paris a confirmé ce vendredi la condamnation à deux mois de prison ferme de l’ex-leader des Jeunesses nationalistes.

"J'ai 5 jours pour faire un pourvoi en cassation... Pendant ce temps-la, la France crève. J'aurais dû être violeur plutôt que nationaliste. On prend moins de placard", a réagi Alexandre Gabriac sur Facebook.

 

A 25 ans, le banni du Front National et ancien conseiller régional en Rhône-Alpes passera par la case prison pour avoir organisé un rassemblement, une "révolte des soutiens" contre le racisme anti-blanc et les "zones de non-droit" en 2012. La préfecture de Paris avait pourtant interdit la manifestation.


Présent également lors de ce rassemblement, le nationaliste vénissian Yvan Benedetti avait lui écopé de 5000 euros d’amende.