Une façon de se dédouaner des faits commis en février 2016 et pour lesquels il était jugé. Alors qu’il se dispute avec des amis dans la rue, il décide de briser la vitrine d’une galerie d’art lyonnaise, de s’infiltrer à l’intérieur et de saccager la pièce, renversant des tableaux.
Selon le Progrès, la gérante mettra quelques mois à établir le préjudice, rapportant aux forces de l’ordre la disparition de peintures, d’une statuette ou encore d’une tablette.
C’est grâce à un lacet abandonné sur place et à l’ADN retrouvé dessus que le suspect sera interpellé. Ce dernier, se défendant d’être un amateur d’art et expliquant avoir ce jour-là consommé de l’alcool et du cannabis, parviendra à n’être condamné que pour les dégradations et pas les vols, qui restent non élucidés.
Il a écopé de 5 mois de prison avec sursis, avec mise à l’épreuve durant 18 mois.