Deux médecins de l'hôpital Edouard Herriot montrés du doigt

Au mois de mars, cette Stéphanoise avait accepté la transplantation d'une partie de son foie sur sa mère atteinte d'une sirrhose en phase terminale, mais sa mère est décédée 1 mois et 12 jours après l'acte chirugical. Pour sa fille, cette opération n'est pas justifiée eu égard au décés de la patiente. Dans un communiqué diffusé hier par les Hospices Civils de Lyon, le chef de service de l'unité de transplantation hépathique affirme que la malade se trouvait dans un état critique et précaire avec une espérance de vie très courte. La seule possibilité était la transplantation à partir d'un donneur vivant. Selon les HCL, la patiente est décédée d'une cause non directement liée à la transplantation.