La région placée sous surveillance par les services chargés de la lutte anti-terroriste.

C’est ce qu’affirment ce matin nos confrères du ‘Progrès’. Les enquêtes menées actuellement en France et en Europe révèlent des éléments déjà apparus dans les réseaux islamistes lyonnais démantelés en 1995.
Lyon avait donc fourni une base arrière aux réseaux GIA connectés avec Bruxelles, Londres et Paris.

Toujours selon le ‘Progrès’, des notes internes datées de 2000 ont fait état d’une vingtaine de lieux officiels ou clandestins de Lyon et sa banlieue favorables à des discours 'peu conventionnels'.