Après les alertes à la bombe, les alertes aux enveloppes suspectes.

Une partie du commissariat central de Saint-Etienne a été mis en quarantaine hier. Une Stéphanoise, alertée par l'odeur nauséabonde qui se dégageait d'une lettre reçue hier matin, s'est rendue au commissariat. Le parquet et la préfecture ont été informés, la directrice de la DDASS et un médecin sont arrivés sur place.

Une dizaine de personnes susceptibles d'avoir été exposées à un risque biologique ont été confinées. Tout danger semblait écarté en fin d'après-midi, en principe le courrier devait partir dans la nuit jusqu'à un laboratoire basé à Grenoble.