Le calvaire pour un chauffeur routier lyonnais.

Le laboratoire du Parc a été condamné hier pour préjudice moral par la Cour d'Appel de Lyon.

Tout remonte à 1993 : l'homme d'une quarantaine d'années avait voulu savoir s'il était porteur du virus du sida. Après analyse des tests, le laboratoire du Parc conclut qu'il est séro-positif et l'Institut Pasteur confirme. Trois ans plus tard, il n'a toujours pas développé le virus et repasse un nouveau test. Les analyses démontrent alors qu'il est séro-négatif. Le laboratoire du Parc est condamné à verser 11 000 euros à la victime. Les résultats du premier test demeurent mystérieux.